La/the route

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jeudi 12 août 2010

Le départ de Cathy

Cathy nous a quitté ce matin pour retourner en France et préparer l’achat d’un appart. au Portugal. Ce fût un plaisir de l’avoir avec nous et nous lui souhaitons bonne chance dans son achat. Voici deux petites aventures vécus avec elle.

Nous avons décidé le vendredi 31 juillet de louer un voiture à Flores pour faire le tour de l'île. À la fin d’une très belle journée à visiter des Caldeiras (cratère) remplis d’eau qui servent maintenant de réservoirs naturels, des villages de toutes sorte et d’une chute ou nous nous sommes baignés, nous avons hésité à visiter le dernier village car il se faisait tard. Le

guide touristique disait que Lajedo était l’endroit le plus paisible de l’île et qu’on y trouve des bains chaud qui valent la peine de visiter. L’eau de ceux-ci qui vient de sous la terre est presque bouillante. Assez chaude pour faire cuire des crustacés. Donc nous décidons d’y aller. À notre arrivé, nous découvrons qu’il y a une «petite» randonnée de 1,6km entre nous et les bains. Le début se déroule bien; nous nous promenons dans un champs et nous descendons. Plus nous avançons, plus le chemin devient escarpé et difficile... voir même dangereux. Nous croyons avoir fait un bon bout de chemin mais nous voyons toujours pas de bains et le mur est presque droit. Gaston décide d’aller voir un peu plus loin pendant que Cathy et moi attendons de savoir ce qu’il en est. Ça prend 5 minutes avant que nous
manquions de patience et que
nous allions rejoindre Gaston. Il avait trouvé les bains. Ou devrions nous dire le bain. Quoiqu'en fait c'est plus comme un trou d'eau. Un petit trou d'eau. En revanche, c'est vrai qu'il était chaud.





Sur l’île de Faïal, nous avons aussi loué une voiture mais cette fois nous étions cinq
car Michel et Martine du voilier La Forêt d’eau (www.laforetdeau.com) ce sont joints à nous. Notre première visite fut fort intéressante. Nous étions sur un volcan qui a fait éruption la
dernière fois de 1957 à 1958. Ce volcan étant loin des villes a seulement enseveli une partie d’un phare dans sa lave. Au sommet, une fissure dans la terre d’un quinzaine de pieds de longueur par 6 pouces de largeur, laissait échapper une chaleur
telle que nous ne pouvions pas laisser notre main à l’intérieur plus d’une minute. Non loin des cette fissure,un téléphone cellulaire sonne. C’est celui de Cathy. Bell peut seulement rêver d’avoir ce genre de réception! Lors de sa conversation Cathy réponds avec son accent très français: ‘’Je ne peux pas noter là. Je suis sur un volcan et je n’ai pas de papier ou de crayon.’’ Classique! Par ailleurs, nous avions louer cette voiture surtout pour aller voir le plus gros cratère de l’île. Celui-ci fait environ 2 km de diamètre et est de 290m à 440m de profond. Nous avons donc emprunté la route sinueuse et très étroite qui mène jusqu’à l’embouchure. Un fois arrivé en haut, nous avons vu... rien pantoute! Un gros nuage s’y était installé et il était impossible de voir à plus de cinq pieds en avant de nous.
N’ayant aucun contrôle sur mère nature, nous avons changé nos plans et nous avons visité le reste de l’île qui, elle, était sous ce nuage. De toute façon, trouver un café sur un plage pour manger une glace nous va tout aussi bien.

Vous rappelez-vous de ce marin du nom de Daniel? Celui qui a eu le temps de compter toute les gouttes qui sont passées sous sa coque lors de ses vingt quelques jours de traversée et qui collectionne les mésaventures (bris d’une conduite de diesel, fuite du réservoir de diesel, air dans les injecteurs, vanne d’arriver d’eau fermé, perte de l’axe du safran, bris par usure de quatre pilotes automatiques, ...). Eh bien, il est finalement arrivé à Horta! Et en une pièce! C’est tout un numéro et nous sommes bien contents de finalement faire sa connaissance. Autre bonne nouvelle... il a déjà été propriétaire d’un resto! Ce soir, on mange la paëlla sur son bateau! Miam! Miam!

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